Joshua Reilly, Detective du C.O.P.S.

Nombre de messages : 4 Age : 38 Date d'inscription : 04/09/2008

I. Fiche d'Identité

A) Etat Civil

Nom : Reilly
Prénom(s) : Joshua Edward Christ
Surnoms : ///
Date de naissance : 15 Septembre 1995
Lieu de naissance : Reno (Etat du Nevada).
Sexe : Masculin
Age :35 ans

B) Statut

Civil: célibataire
professionnel (officiel): Inspecteur de police au sein du C.O.P.S. dans le police de Los Angeles.
nationalité: Californienne (depuis l’accord passé sur la sécession du Nevada).
Origine(s) : Caucasiennes Irlandaises

II. Descriptions

Physique :

Taille : 175 cm, une taille standard, ni trop grand, ni trop petit.
Cheveux: Châtains clairs, coupés court.
Yeux: Deux yeux marrons, grands et expressifs.
Corpulence : Plutôt athlétique, s’entretient par le biais d’exercice quotidien matinaux. Il faut aussi avouer que son travail plutôt physique l’y aide pas mal.
Signe particulier: Tatouage du 38° USMC sur l’omoplate gauche, divers cicatrices en de multiples endroits (impact de balles, écorchures, coup de couteaux, brûlures). L’une d’elle est située au niveau supérieur de son arcade sourcilière droite, reliquat d’un morceau de verre suite à l’explosion d’un véhicule civile lors d’une fusillade entre Gang Hell’s et chicanos.
Une large cicatrice blanche sur le revers de la main droite stigmatise la balle qui est passée au travers de sa main, tirée à bout portant par un trafiquant de Mexicali.
style vestimentaire:
Lorsqu’il est en civil, Reilly affectionne les chemises Hawaïennes old school totalement anti-fashion et les vieux blue jeans délavés ou encore un vieux pantalon de treillis défraîchis à moins que ce ne soit un bermuda pour aller faire un tour sur la plage. Un bermuda à fleurs bien entendu. Sinon, c’est toujours une dégaine de branleur, du type qui se fout du regard des autres et qui cherche seulement à être à l’aise. Nageant à contre-courant de la mode Angelinos, négligé, il ne se rase pas quand il n’est pas de service par mesure de contestation (enfin, c’est ce qu’il prétend, en fait, c’est juste parcequ’il à la flemme).
Lorsqu’il est en civil et qu’il est de service, sa tenue ne change finalement que très peu sauf qu’il faut rajouter à cela un holster d’épaule pour y garer son arme de service et un holster de ceinture dans les reins pour la seconde arme de service avec une veste de chasse pour transporter les munitions et ces papiers ainsi que le matériel divers. Lorsque le soleil frappe, il porte aussi la paire de lunettes réglementaires et un chapeau de brousse gris qui lui donnent l’air d’un parfait touriste. Un touriste avec des gants de motards en cuir bien entendu.
En uniforme du C.O.P.S., il porte parfois un bandana dans les cheveux ou autour du cou, le plus souvent un drapeau de la Californie ou avec le logo du L.A.P.D. ou du C.O.P.S. (chacun sa façon de réutiliser les goodies du service). Il est souvent d’une apparence un peu débraillé avec ces deux armes de services en double holster d’épaule, la tonfa rivée à sa ceinture avec le reste du matériel. Il porte aussi un paquet de cigarettes “Wild Seven” fixé sur son épaule gauche à l’aide d’un ruban adhésif gris qu’il peut ainsi atteindre quand il le veut, aussi bien sur sa moto qu’au plein coeur d’une fusillade.
Joshua porte un masque de combat figurant un As de Pique, souvenir des combats en Corée.
Lors des cérémonies officielles, ils portent l’uniforme de cérémonies de la police (parfois celui de cérémonie du corps des Marines) avec les gants blancs et tout le bataclan. Son placard est agrémenté des divers médailles obtenue autrefois dans les différents conflits où il à participé, dans une tentative de se persuader qu’il n’y a pas eût tout ces morts pour rien et pour se rappeler à lui-même qu’il à survécu à l’enfer plus d’une fois. Toute personne ayant une connaissance approfondie des décorations militaires et des rubans de décorations pourra y reconnaître le parcours d’un vétéran envoyé dans les endroits les plus chauds du globe.

Caractère : (5 lignes minimum pour chaque partie)

Qualités : Joshua est un type honnête et franc, assez droit dans ces bottes depuis qu’il a rejoint les rangs de la police de L.A. Courageux, un peu tête brûlé sur les bords, rien ne le fait reculer, ni les coups de feu d’une bande de Crips, ni les flammes d’un incendie et encore moins la perspective de mourir. Amical, il aime blaguer et la déconne pour mettre les gens de bonne humeur.
Défauts: Au fond de lui, Joshua se haït viscéralement ou plutôt il haït ce qu’il était au service de la bannière étoilé et cherche à se racheter pour tout le sang qu’il a sur les mains à commencer par celui de sa mère dont il se sent souillé. Névrosé obsessionnel, il est sur la corde raide, parfois suicidaire, sa vie ne compte plus pour lui et quand il rit, c’est juste pour cacher son mal-être, son humeur sombre. Il tient à protéger les autres de lui-même. Légèrement paranoïaque, il se montre méfiant avec tout le monde et n’accorde qu’une confiance très limitée à autrui.
Ce qu’il aime: Joshua aime faire de la moto, démonter les armes à feu, jouer au base-ball et au Hockey, jouer de la guitare à ces heures perdues et regarder le Superbowl (Californien comme Unioniste). Amateur de randonnée, il lui arrive de partir faire du camping dans le désert du Nevada ou dans les montagnes.
Ce qu’il déteste: Joshua déteste les militaires dont il ne connaît que trop bien les méthodes, la drogue et les narcotrafiquants qui en vivent. Il sait à quel point la drogue peut détruire un homme et trouve ce marché répugnant. Il déteste aussi les gens qui se voilent la face et ne veulent pas reconnaître la vérité quand elle pointe son nez ou bien tenter leur chance quand elle est à portée de main. Il n’aime pas non plus la marque Honda par pur chauvinisme culturel surannée.
Objets fétiches :
Son dog-tag et ces vieux souvenirs du régiment dont notamment de vieilles photos sur papiers glacés qui ont vues des jours meilleurs.

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III. Informations Complémentaires

Comportement :

Hobbies :
Joshua fait de la randonnée, de la moto, du camping. Il collectionne aussi les reportages sur la guerre de Corée et celles d’Amérique Centrale et du Sud.
Activités sportives pratiquées :
* La boxe (niveau amateur)
* Le Hockey sur glace (niveau très amateur)
* Le Base-ball (niveau amateur, fait partie de l’équipe de l’unité du C.O.P.S.)
Divers :
* Permis de conduire (voiture, moto, camion, véhicules blindés)
* Permis de port d’armes dissimulée
Langue(s) :
* Anglais (lu, écrit, parlé, sans accent)
* Coréen (parlé, sans accent)
* Portugais (parlé, avec accent)
croyances/confession: Catholique par éducation mais ne croit plus vraiment en grand-chose.
orientation sexuelle: Hétérosexuel.
antécédents:

Joshua est le fils d’un professeur de littérature de l’université d’Etat de Reno (Nevada) du nom de Christopher Reilly, de tendance Démocrate Progressiste mariée à Mary-Ann Reilly (née Watson), Sergent de police du Reno Police Department et Catholique Irlandaise convaincue. Ce petit couple improbable née d’une rencontre sur le bord d’une autoroute dans les années 90 donna donc naissance à leur fils unique, Joshua, le 15 Septembre 1995 dans une petite clinique d’Etat de Reno.

Joshua fut très tôt entouré d’amour par sa mère qui n’avait d’yeux que pour lui et par un père qui le poussait toujours plus à développer son intellect mais au grand dam de celui-ci, le petit Joshua Edward Christ Reilly préférait courir dans la poussière et l’herbe du jardin, jouer au base-ball et faire du vélo que d’apprendre un quelconque cours de mathématique ou ouvrir un livre.
Très vite son père le compris et en conçu un sentiment d’échec, il n’avait pas le fils qu’il aurait voulu et qui ressemblait par trop à sa mère agent de police. Cette dernière ne ménageait pas son travail, à présent, elle avait une motivation à lutter contre les criminels et autres gangers : un fils, un fils à protéger et une ville a assainir pour lui assurer un bel avenir.
Reilly fut donc élevé dans l’amour de sa mère et celui que pouvait lui porter son père, une scolarité classique, pas un génie, plutôt bagarreur et remuant, il démarre les conneries vers 16 ans lorsqu’il forme une bande de copains sur les chaises du collège pour faire des conneries le week-end, se met au scooter et à mater les filles.

Le lycée sera peut-être la pire période, surtout pour sa mère. Adolescent rebelle, il chercher à trancher d’avec le modèle intellectuel paternel et le modèle policier incarné par sa mère. Il cumule les conneries, ne travaille plus à l’école, se met à la clope et à la bière, à se battre.
A plusieurs reprises, il sera arrêté par les collègues de sa mère qu viendra le chercher furieuse, au Commissariat du quartier pour état d’ébriété, conduite sans permis ou encore coups et blessures.
Très vite, il devient ami avec un groupe de Hell’s Angels auprès de qui il se fabrique une figure paternel, une représentation idéalisée d’une « vraie » famille. Avec eux, il apprend à conduire des moto, à se servir d’une arme à feu et d’une batte de base-ball pour autre chose que le sport et surtout, il deal de la dope. Il est prêt à tout pour entrer dans le groupe.

Sortit du milieu scolaire, il n’assiste pas à sa remise de diplôme car de toutes les façons, il n’aurait jamais réussit à l’avoir et prépare secrètement de partir sur les routes. Déjà, il n’habite plus chez ces parents et squatte la chambre d’une de ces petites amies du moment.
Sa mère fera son possible pour le faire revenir sur le droit chemin mais Joshua finira par ne plus l‘écouter, influencé par sa girlfriend de l’époque, Cathy, un Birdz Néonazi qui l’enjoint à se faire bikers. Il hésite à plusieurs reprises mais n’a pas le courage de reconnaître ces erreurs.
Sur la corde raide, il descend chaque jour un peu plus la pente du crime.

Jusqu’à ce moi de Septembre 2015…

Le jour de son vingtième anniversaire, Joshua se trouvait à déconner avec quelques copains dans un terrain vague, à boire des bières et prévoir un éventuel braquage, sans rien de concret dans le crâne. Au loin, des coups de feu en provenance du centre ville, des sirènes de police. Ils voient les secours partir de tous les points de la ville pour se rendre sur les lieux. Et Joshua rigole car il trouve le bruit des ambulances très drôle après son troisième pack de bières.
Le soir même, éméché, il décide de se rendre chez ses parents pour dire à son père sa façon de voir les choses et demander une dernière fois à sa mère de le lâcher avec sa morale catholique.
Lorsqu’il arriva devant le pavillon de ces parents, c’était pour voir que toutes les lumières de la maison était allumés et une montagne de fleurs et de lettres sur le perron. Des dizaines de flics en uniforme ou en civils dans le jardin devant la maison…. Et son père.

Joshua se rapprocha, titubant pour lui demander ce qu’il se passait. Son père lui répondit d’un coup de poing dans la gueule et d’une bordée d’injure. Il se serait acharné sur son fils di les officiers de police ne les avaient pas retenus lui et son fils.
Ce soir là, Joshua appris par son père et les anciens collègues de sa mère qu’une grande fusillade entre gangs de bikers avait eût lieu dans le centre ville, fusillade qui avait dégénérée en conflit armée et où les flics du R.P.D. s’étaient retrouvés bloqués entre deux feux pour protéger les civils.
Le Sergent Mary-Ann Reilly, née Watson était tombée au champ d’honneur, abattue par 4 balles de calibre 9 mm Dum-Dum tirées par l’un des mentor bikers de Joshua, à bout portant et parcequ’elle avait voulu protéger un bus scolaire. Elle fut enterrée avec les honneurs avec 12 autres de ces collègues du R.P.D. et fut décorée à titre posthume de la Médaille de la Police de Reno.

Cette mort brutale choqua Reilly qui quitta le domicile familiale sans même que son père ne l’en empêche ni ne s’en aperçoive même. Joshua resta trois mois dans les rues, découvrant soudain la réalité de la vie de sans-abri et surtout que tout ceux sur qui il pouvait compter ne valait rien et n’était pas prêt à lui renvoyer l’ascenseur. Seul un petit groupe de Bandidos, des bikers du Nevada venus de Californie lui donnèrent un petit coup de pouce de temps à autres en échange de ces talents de guetteur alors qu’ils concluaient leurs deals.

Mais cette vie de misère lui pesait, le souvenir de sa mère et la perte de tout repère le menèrent à consommer ce qu’il y avait à potée de sa main : d’abord la Ganja puis la Cocaïne et enfin, le pire du pire… le Crack.
Joshua aurait dût finir cranké dans le caniveau lorsqu’un matin, émergeant sans trop savoir comment, il se trouvait dans une petite ruelle, il aperçut une affiche défraîchie sur le mur. Une affiche de recrutement du Ministère de la Défense vantant les mérites du Corps des Marines.
Abattu, sans repère et avec quelque part l’idée de se racheter aux yeux de son père mais aussi de sa mère, il décida de saisir sa chance et se rendit au bureau de recrutement pour signer le contrat.
Envoyé en désintoxication, formé dans le Corps des Marines des Etats-Unis d’Amérique, il entra officiellement 1° classe dans le 38° Groupe de Combat de l’U.S.M.C. le 16 Mars 2015…

Sa vie dans les Marines lui parurent d’abord un paradis : on ne le jugeait que sur ces capacités, on n’attendait pas des miracles de lui, juste qu’il se batte de son mieux pour son pays.
De la soupe qu’il avalait pour devenir plus grand.
On fit de lui peu à peu une machine de guerre au service de l’Oncle Sam, un bon soldat fier de porter la bannière étoilée, la Star and Stripes là où la Démocratie était en danger. Dés son incorporation, il fut envoyé dans le conflit qui allait marquer tout un génération de jeunes soldats comme avait pût l’être le Vietnam en son temps.
Mal préparés, trop jeunes et sans aucun soutien des populations locales, les jeunes Marines se retrouvent envoyés en Corée du Sud dans la lutte contre l’invasion Nord-coréenne. Là-bas Reilly va vivre l’horreur des attentats suicides à la bombe, les bombardements au Napalm et au missiles anti-bunker dans les montagnes avec parfois des dégâts collatéraux chez ces collègues mêmes. A l’occasion de cette guerre, le Haut Commandement Américain va faire les mêmes erreurs que lors de la guerre du Vietnam et le conflit va s’enliser à cause du soutien indirect de la Chine aux troupes Nord-Coréennes. Reilly et le 38° escadron seront au première loge lors du bombardement par les super canons sur chenilles des forces nord coréennes des positions de l’US.Army. Il y perdra 10 de ses meilleures camarades de régiments. Tous n’avaient qu’entre 18 et 24 ans.

La Guerre de Corée va se révéler une terrible épreuve, celle de la boucherie, surtout que les US Marines sont encore une fois ceux qui paieront le prix du sang comme ce fut le cas dans tout les conflits depuis le début des années 90 et la Guerre du Golfe I.

Cette Guerre de Corée prend définitivement fin en 2020 et le retrait des troupes américaines et alliées du territoire coréens désormais entre les mains du Tyran Nordiste et de ces alliés chinois. Abattu, le Caporal Joshua Edward Reilly revient la tête basse au pays qui préfère oublier ce qu’ont vécus ces soldats.

Afin d’empêcher un nouveau syndrome de la Guerre du Golfe sans recourir à des thérapies médicales et psychologiques coûteuses, le Haut commandement décide de remobiliser l’essentiel des Marines sous contrat (Joshua n’ayant plus ni famille sur qui compter ni ami à retrouver, il rempile) pour les envoyer combattre en Colombie contre les Narcotrafiquants en soutien des Rangers, de l’US Airborne et des agents spéciaux de la DEA.

Après les montagnes et les rizières, voici notre Reilly plongé en plein cœur de la forêt équatoriale à combattre les guérilleros colombiens cramés au Quetz et les horreurs que renferment l’Amazonie, dont les mythique Guerriers Jaguars et Aigles des légendes Aztèques. Cette guerre qui durera quatre ans va peu à peu miner le moral de Reilly et sa confiance en son pays, en les idéaux pures et démocratiques qu’il dit soutenir. Il procède à des raids zippo sur les plantations de coca, participe à des opérations de nettoyage au napalm et aux cocktails incendiaires et chaque jour un peu pus, il voit ces collègues s’enfoncer dans la haine et la violence pour combattre le stress et les horreurs qu’ils commettent. Lui-même n’as pas les mains propres et il s’en veut beaucoup pour certains actes commis sous l’influence de la peur, de l’adrénaline, de l’alcool ou des drogues de combats que l’on distribuaient aux hommes avant les interventions lourdes.

2024, la guerre prend fin en Colombie et se poursuit en Amérique centrale. Joshua, devenu Sergent sera envoyé au Salvador et au Nicaragua pour des opérations d’avant-gardes et de Recherches et Destruction. Mais cette atmosphère lui pèse de plus en plus et obéir aux ordres de ces supérieurs le rend incapable de se regarder dans un miroir le matin. Les regrets s’accumulent mais il refuse de sombrer dans l’alcool. Toujours le souvenir de sa mère. 2026, de retour en permission aux Etats-Unis, dans une base du Nouveau-Mexique, il prend une décision lourde de conséquence puisqu’il déserte purement et simplement les rangs de l’U.S. ARMY en faisant le mur, mains sur le guidon de sa Harley et il fonce à travers le désert direction le Mexique avant de revenir sur ces pas et de bifurquer pour échapper au service de la Police Militaire.
Entre-temps, la Californie proclame son indépendance, causant un afflux de troupes U.S. à la frontière ce qui oblige encore Reilly à revenir sur ses pas. Il trouve refuge parmi un groupe de Bikers, des Bandidos marginaux qui vivent au jour le jour en tenant d’échapper aux régulières traques des Fédéraux et de la police de la route. Reilly va vivre un an avec eux avant de les quitter en 2027 aux portes du Nevada. Il rentre à Reno dans ce climat tendu avec le retrait progressif de l’Union du territoire appelé à rejoindre la République de Californie. Il se rend dans sa maison familiale mais son père refuse même de lui ouvrir la porte arguant qu’il n’a jamais eût de fils. Devant son paternel borné, Joshua n’insiste pas et préfère retourner sur la tombe de sa mère. Il restera la nuit à vagabonder dans Reno avant de décider de prendre à nouveau la route vers la Californie via la Route 66 : Terminus Los Angeles.
A la frontière, il est retenu par les douanes car sous le coup d’un mandat d’arrêt d’un tribunal militaire de l’Union.
Joshua E.C. Reilly a été condamné par contumace pour désertion, abandon de poste dans le cadre d’une période de conflits, crimes de guerres (les déserteurs ayant été accusés en bloc des forfaits de toute la compagnie) voir crimes contre l’humanité pour les charniers découverts en Colombie (mais aucun tribunal compétent n’a voulu retenir cette charge-ci). L’Union et le Corps des Marines outre l’avoir officiellement destitué de ces fonctions et grades requirent alors son extradition vers le territoire de l’Union afin d’être remis aux autorités Fédérales et purger une peine de 10 ans de prison avant d’être exécuté. Mais afin de faire un pied de nez diplomatique, le Gouverneur de Californie lui accorda la nationalité Californienne et l’immunité sur le territoire californien en vertu de sa naissance au Nevada en cours d’annexion. Relâché du bon côté de la frontière, Reilly arriva un bon matin à L.A. sans le sou ni port d’attache mais après quelques jours passés avec les gangs de Bandidos, il décida de tenter sa chance dans les forces de polices lorsque l’unité du C.R.A.S.H. fut rouverte et intégra sur concours de recrutement au rang d’Inspecteur grâce à ces connaissances certaines des Gang de Bikers, des Mafia de Narcotrafiquants et de son passage dans les Marines, fortement appréciés pour des agents censés bosser au contact de la violence urbaine.
Joshua opéra dans cette unité de 2027 à 2029 avant d’obtenir enfin sa mutation dans la mythique unité du C.O.P.S.

A ce jour, il est le 3° officier à porter la plaque 085 et le Compact Uni 85 associé.

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IV. Historique

Lieu d'habitation: Joshua abite à Van Nuys, dans un petit quartier dominé par les gangs Bandidos avec qui il possède des amitiés. Son appartement est un petit 2 pièces avec une cuisine/salle à manger, une salle de bain, une chambre et une pièce qui lui sert de chambre d’amis et dans laquelle il entasse quelques vieux trucs. Comme il n’y vient que pour dormir, cet appartement est légèrement en bordel, le plus souvent des cartons à moitié vide, des bouteilles qui traînent et un cendrier sur le point de déborder. Une vieille télévision H.D. vieille de 20 ans avec son enregistreur U.V.D. dépassé, une pile d’U.V.D. très divers au coin du vieux sofa.
Ces murs sont ternes, sauf là où il a prit le temps d’accrocher le drapeau de la République de Californie ou des photos de divers paysages en format poster dont une prise de vue de la campagne Coréenne sous un bombardement au napalm...
Enfance : Son enfance s’est joué entre l’amour inconsidéré de sa mère et le désintérêt de son père. Une mère étouffante qui le poussait à chercher l’évasion hors du cadre familial et un père qui ne s’en préoccupait que par respect pour la vie humaine. Des sentiments mitigés mais à présent, il comprend mieux ce qu’il s’est passé et il s’en veut.
Famille : Malheureusement fils unique, les choses auraient pus être différente si il avait eût une soeur ou un frère. Hélas, le travail de sa mère l’en a empêché jusqu’au dernier moment.
Son père vit au Nevada et il ne le reverra sûrement jamais.
En fait, sa seule vraie famille à présent, c’est le C.O.P.S., les hommes et les femmes de cette unité avec qui il rie, il boit, il pleure... il se bat. Ce sont ces frères et soeurs à présent. Et il fera tout pour les protéger.
A ce jour: Sa vie de flic lui plaît et il comprend enfin pourquoi sa mère faisait ce boulot, pourquoi elle y a consacrée une partie de sa vie. Il l’accepte et se sait prêt à suivre ces pas.

V. Hors-Jeu

A combien estimez-vous votre future fréquence de jeu? :[i] autant que faire se peut.
Comment avez-vous trouvé le chemin? : Je connais le concepteur du forum, ça aide !
Que pensez vous de l'univers en général ?, en particulier ? Moi ! J’adore !
[b]Avatar: Josh Holloway

PERSONNAGE VALIDE ET APPROUVÉ PAR LA HAUTE AUTORITÉ